CGT-MAE – syndicat CGT des personnels du ministère de l'Europe et des Affaires Étrangères

Revue de presse

Vœux de Sophie Binet, Secrétaire générale de la Cgt aux syndiqués & syndiquées

Montreuil, le 21/01/2025 Ce message s’adresse à toutes les syndiquées et tous les syndiqués de la CGT Bonjour à toutes et tous, Je tiens à vous adresser ainsi qu’à vos proches, mes meilleurs vœux pour l’année 2025. Je tiens aussi à envoyer un grand message de solidarité à nos frères et sœurs mahorais dont le pays a été détruit par le cyclone Chido. La CGT, notamment grâce à nos camarades dockers, a déjà envoyé plusieurs containers humanitaires et a lancé une grande collecte à laquelle chacune et chacun peut contribuer. Une nouvelle année c’est l’occasion de prendre le temps de regarder dans le rétroviseur le chemin parcouru et de se projeter sur l’année suivante. Nous pouvons être fier·es du rôle central que la CGT et ses militantes et militants ont joué en 2024 pour défendre la démocratie et le progrès social. Cela doit nous donner confiance pour 2025, malgré les dangers inédits qui pèsent sur notre pays. Nous avons réussi à mettre en échec Emmanuel Macron qui était prêt à livrer le pays à l’extrême droite plutôt que de changer sa politique au service des plus riches. Nous avons bloqué ses réformes régressives : les pires dispositions de la loi « asile immigration » ont été censurées, la réforme de l’assurance chômage a été enterrée, la réforme de la fonction publique abandonnée, comme celle de la « simplification » du Code du travail qui étaient dans les cartons. Nous avons gagné la censure du budget 2025. Les pensions seront donc revalorisées de 2,2 % dès le 1er janvier. En 2024, nous avons été au rendez-vous dans tous les moments clés et nous avons placé la CGT au centre du jeu pour faire entendre la voix des travailleuses et travailleurs. Nous avons gagné la régularisation de centaines de travailleurs et travailleuses sans papiers. Nous avons gagné le droit à des congés payés pour les salarié·es en arrêt maladie, et cette victoire est partie de nos camarades de Transdev de Reims puis de la bataille juridique menée par DLAJ. Nous avons arraché des avancées pour les travailleuses et les travailleurs des JO. Nous avons empêché la fermeture de Valdunes, dernier fabricant français de roues et d’essieux de train, gagné 380 millions d’investissements pour la tour Eiffel, lancé un projet d’imagerie médicale inédit suite à la lutte des camarades de Thalès… Alors que les opinions sont de plus en plus clivées, polarisées avec des mises en oppositions violentes, nous nous sommes arraché·es à rassembler. Nous avons pérennisé l’unité syndicale et renforcé nos liens avec la société civile. Par la cohérence et la clarté de nos positions, la CGT a donné le cap. Nous avons démontré que rien n’est jamais écrit d’avance et que notre mobilisation fait la différence. C’est ce qu’il nous faut continuer pour être à la hauteur des défis colossaux de 2025. Après l’élection de Donald Trump, l’extrême droite est plus que jamais en position de force. Elle est soutenue par de nombreux milliardaires à commencer par l’homme le plus riche du monde, Elon Musk, qui utilise les réseaux sociaux pour déstabiliser les démocrates et promouvoir l’extrême droite en Allemagne, au Royaume-Uni ou encore au Brésil. Il ne s’agit pas du positionnement isolé d’un patron fantasque. Le capital préfère maintenant clairement que l’extrême droite accède au pouvoir plutôt que de devoir partager les richesses avec les travailleuses et les travailleurs. Les digues construites face à l’extrême droite tombent une à une. La concentration des médias et des réseaux sociaux entre les mains de quelques milliardaires menace nos démocraties. L’ONU n’a jamais été aussi affaiblie alors que les conflits guerriers se multiplient. Nous allons fêter le fragile cessez-le-feu à Gaza en étant sûr·es qu’il va falloir se battre pour qu’il soit durable. Il va maintenant falloir mener la bataille pour reconstruire et surtout gagner un processus de paix juste et durable et cela s’annonce encore plus compliqué qu’en 2024, maintenant que Trump est Président des États-Unis. Au moment où les catastrophes environnementales se multiplient, où l’année 2024 bat encore une fois tous les records de chaleur, la lutte contre le changement climatique disparaît des agendas. La CGT débattra de ces enjeux avec le mouvement syndical européen et international pour construire des stratégies syndicales communes. Nous travaillons à renforcer le poids et la place de la CGT dans la CES et la CSI, et on peut d’ores et déjà se féliciter d’avancées notables. Dernière en date : nous avons réussi à faire adopter par la CES notre proposition d’un moratoire contre les licenciements. On connaît maintenant le bilan du capitalisme financiarisé et du libre-échange : la mise en concurrence des travailleurs et des travailleuses, la désindustrialisation de nos pays, l’explosion des émissions de gaz à effet de serre, et la constitution d’une oligarchie mondiale qui accapare toujours plus de richesses à commencer par celles des pays en développement. Pour reprendre la main sur les multinationales, il nous faut imposer une relocalisation de l’économie. Les richesses que nous produisons doivent permettre de répondre aux besoins des populations au lieu d’inonder le monde de produits low cost ! Ce n’est pas de moins de normes dont nous avons besoin mais d’une vraie harmonisation fiscale, sociale et environnementale notamment sur le plan européen ! Il va donc nous falloir reprendre et approfondir nos réflexions et propositions sur le libre-échange, et faire bouger les lignes en commençant par convaincre nos camarades allemands qu’ils doivent sortir de la dépendance vis-à-vis de la Chine, des États-Unis et de la Russie ! Dans ce contexte, nous avons besoin que la voix de la France porte. Pourtant, pour éviter de modifier sa politique économique et sociale, Emmanuel Macron maltraite nos institutions. Malgré la sanction des urnes, il a nommé un proche Premier ministre, qui nous a déroulé un discours de politique générale aussi mauvais sur le fond que sur la forme ! Le point positif, c’est qu’il est maintenant clair que l’avenir de son gouvernement comme celui d’Emmanuel Macron dépend de ce qu’ils feront sur la réforme des retraites. Alors qu’Emmanuel Macron essaye depuis deux ans de tourner la page, nous avons

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Revue de presse

On a répondu à Georges Malbrunot…

Monsieur Malbrunot, Cher Georges, Il y a deux jours, très certainement touché par l’égrégore élyséenne ou ce qui reste des ors du Quai d’Orsay, vous tweetiez à l’occasion de la conférence des ambassadeurs que le « moral des diplomates (était) en hausse », que « de nombreux diplomates, en particuliers des jeunes, (donnaient) l’impression de se sentir plus à l’aise avec leur ministre » et que c’était là « enfin une bonne nouvelle pour une maison depuis un certain temps en souffrance ». Lectrice attentive de vos articles et travaux, la CGT Affaires étrangères souhaite revenir sur cette assertion et compléter le tableau. Nous relevons déjà que vous n’évoquez que les « diplomates », donc dans notre sociologie les cadres « A » du ministère des Affaires étrangères, cette armée mexicaine (il y a au MEAE +/- 1.800 cadres A pour 1.000 cadres B et 2.500 agents C) très variée si l’on creuse un peu. Si l’on parle des personnels relevant de la haute Fonction publique, ceux qui ont été le cœur d’une réforme qui a fait grand bruit et ne visait qu’à satisfaire une lubie présidentielle, on peut raisonnablement vous rejoindre : tout va bien, tout va mieux pour des agents qui ont reçu des ponts d’or afin qu’ils optent pour le corps des Administrateurs de l’État. Juste un chiffre, à la fois « café du commerce » et symbolique : plusieurs membres de la haute hiérarchie ont reçu en juin dernier une prime d’été (« CIA » dans notre jargon) équivalente à… un an de salaire d’un agent C ! Avec de tels cadeaux et avec un avancement taillé sur mesure, un esprit chagrin serait presque fondé à parler de corruption systémique. Si l’on s’intéresse, pour « descendre » les marches, aux cadres intermédiaires, essentiellement secrétaires des Affaires étrangères, le tableau se teinte déjà. L’embouteillage à l’étage supérieur renforce le plafond de verre et, s’ils ont cru un temps au miroir aux alouettes d’une disruption transgressive, ils déchantent déjà au quotidien : entre commandes erratiques, champs d’actions flous, renoncement à nos principes et ligne politique résolument atlantiste, ils en sont réduits à attendre les éléments de langage et suivre l’évolution des émojis de l’#agendatransfo sur LinkedIn pour comprendre quelle sera la tendance de la semaine prochaine. Ne parlons même pas des contractuels, qui forment la majorité des recrutements aujourd’hui et à qui on indique la porte de sortie à peine l’entrée franchie. En suivant la chaine hiérarchique, l’observateur avisé découvrira deux corps de catégorie B (les secrétaires de chancellerie –consuls-adjoints, secrétaires généraux d’ambassade– et les secrétaires des services d’information et de communication) qui sont les charnières de nombre de nos postes diplomatiques et consulaires et sont frappés par le doute : missions multipliées, astreinte quasi-permanentes, binômages ou trinômages impossibles, moyens diminués, perspectives d’évolution fermées. Ce n’est clairement pas un hasard si un nombre croissant de postes de travail à l’étranger sont désormais pourvus par des missions de renfort en l’absence de candidats. Un regard vers les agents de catégorie C alourdit encore le navire : rémunérations et conditions d’expatriation dégradées, sur-responsabilités (sans avoir le salaire qui va avec) et injonctions contradictoires les mettent dans l’impossibilité d’accomplir leur devoir de manière satisfaisante (un chiffre, encore, toujours entre le banal et le symbolique : le délai de transcription à Nantes d’un acte d’état-civil étranger est actuellement de… 8 mois et s’accroit sous l’influence des nombreuses interventions d’élus qui remontent d’autres dossiers sur le haut de la pile). Les burn-outs se multiplient, les actes de mauvais management aussi… dans l’indifférence d’une hiérarchie dont on ne sait si elle est aveugle, consciente ou complice de l’effondrement et de la destruction du service public. Enfin, nos collègues et camarades de recrutement local qui sont les piliers de l’ensemble de nos postes à l’étranger (50% de l’effectif du MEAE) : ce sont eux qui accueillent les « diplomates au moral qui remonte » objets de votre tweet ; ce sont eux qui les conduisent, effectuent leurs démarches de détaxes, assurent l’intendance et parfois même traduisent leurs interventions. Ce sont eux qui suivent au quotidien les dossiers dont ensuite l’on s’enorgueillit. Ils n’ont pourtant, au sein du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, pas encore de statut unique, pas de protection sociale standardisée, ils sont ballotés entre droit local et droit français parfois au bon vouloir de chefs de poste encore bien coloniaux. Ils étaient, jusqu’à décembre dernier, et c’est une victoire de notre liste d’Union avec Solidaires et la FSU, exclus des plans de sécurité des emprises françaises et demeuraient seuls derrière en cas de crise.  Voilà en quelques lignes un message de rabat-joies et d’empêcheurs de cocktailiser en rond mais l’on ne se refait pas… Nous sommes bien-sûr à votre entière disposition si l’envers (ou plutôt la base) du décor et le moral des étages inférieurs vous intéresse. Très sincèrement, La CGT-MAE

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Revue de presse, Vie des agents

Participez au financement des kits Amazon « L’évasion fiscale, c’est du vol ! »

En vue du Black Friday, Attac organise deux journées d’action contre Amazon et son monde pour dénoncer les méfaits de la multinationale et notamment ses pratiques d’évasion fiscale et ses crimes climatiques ! Aidons-les à agir : participez au financement des kits de mobilisation « Amazon L’évasion fiscale, c’est du vol ! », à partir de 10€ pour financer un kit individuel et de 50€ un kit collectif. Plus d’infos ici : https://france.attac.org/se-mobiliser/stoppons-amazon-avant-qu-il-ne-soit-trop-tard/article/participez-au-financement-des-kits-amazon-l-evasion-fiscale-c-est-du-vol  

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Revue de presse

Rock the Kasba ! – décryptons le ministre de la déconstruction publique !

Une fois de plus un ministre de la Fonction publique fait de la provocation en menaçant les fonctionnaires de rallonger le délai de carence et de réduire l’indemnisation des congés maladie. Pour lui, c’est simple : malade=fainéant… La CGT/MAE, forte de ses liens avec l’UGICT SYNDICAT CGT des Ingénieurs/Cadres/Techniciens, vous invite à regarder et à partager cette vidéo dédiée à la déconstruction du discours de Guillaume KASBARIAN, vidéo dont nous vous reproduisons également le texte ci-dessous. https://www.youtube.com/watch?v=k4rBIayOy0g Au lieu de mentir éhontément, notre ministre ferait mieux de comptabiliser notre travail gratuit (heures écrêtées, congé non pris) avant de causer ! Et voilà qu’il félicite Elon Musk pour son projet de « démanteler la bureaucratie » à la tête du ministère de l’efficacité gouvernementale américain… Bonne vidéo et n’hésitez pas à nous rejoindre ! Retrouvez également ici : le calculateur de la CGT Fonction publique pour estimer les pertes financières de l’opération « 3 jours de carence + 90% du salaire ».     Verbatim : Le ministre nous dit que les fonctionnaires sont par nature plus absents que les salariés du privés : les études de ses propres services disent le contraire ! Parmi les moins absents on retrouve les enseignants et les fonctionnaires de la fonction publique d’État. C’est ce que rappelle Libération dans un article de janvier 2024 basé sur les chiffres de la direction générale de l’administration et de la fonction publique : par exemple, dans une semaine type, seulement 2,6 % des enseignants sont en congé maladie contrairement à 3,9% dans le privé. Or le ministre déclare dans son intervention à France Inter : « moins d’arrêt maladie ça serait plus de responsabilité, je le redis : nous avons une dérive du nombre de jours d’absence, et notamment dans la fonction publique, d’envoyer ce signal-là de responsabilisation à la fois sur la carence et la prise en charge dans un alignement encore une fois dans un esprit d’alignement avec le privé » Si on reprend la logique du ministre Kasbarian cela signifierait que les enseignants et les fonctionnaires d’État seraient plus responsables dans la gestion de leurs arrêts maladie… en vérité c’est simplement que les conditions de travail varient selon les secteurs d’activité ! Par exemple dans les fonctions publiques territoriales et hospitalières c’est là qu’on trouve les agents et les agentes les plus exposés et les publics les plus vulnérables : crèches, EPHAD, hôpitaux : il y a des métiers où on est plus exposé au risque et donc on tombe plus souvent malade… c’est ce que rappelle le fameux rapport IGF-Igas de 2024 : à caractéristique d’emploi identique il n’y a quasiment pas d’écart d’arrêt maladie entre le public et le privé : que vous travaillez dans une crèche publique ou privée, vous serez autant vulnérable aux maladies contagieuses des enfants. Un autre rapport, cette fois-ci du ministère de la Fonction publique (celui de notre cher ministre ! ), explique que s’il y a légèrement plus d’arrêts dans certains secteurs, c’est parce que les fonctionnaires sont confrontés à des conditions de travail atypiques le weekend, la nuit, les jours fériés, ce qui a un impact sur leur santé. Il y a une réalité, c’est que le nombre de jours d’arrêt augmente, et la réponse du gouvernement, c’est que ce sont les fonctionnaires qui en sont responsables : c’est une inversion scandaleuse de la responsabilité, car dans le monde du travail il y a un principe fondamental : c’est votre employeur qui est responsable de votre santé et de votre sécurité au travail. Dans le privé les employeurs avec des fort taux d’accidents de travail et d’arrêts maladie ont des pénalités financières, ce n’est pas le cas de l’État employeur qui est donc déresponsabilisé. La CGT alerte depuis des années : les sous-effectifs chroniques dans les services publics conduisent à une explosion du nombre d’épuisements professionnels et de maladies lié au travail la CGT-Ingés Cadres et Techniciens a tiré la sonnette d’alarme dans son baromètre Via Voice  : les professions intermédiaires et techniciennes de la fonction publique voient leur conditions de travail se dégrader d’année en année : 61 % des déclarent que leur charge de travail a augmenté par rapport à l’année précédente -soit plus 8 points par rapport au privés. 68 % estiment être exposé à des risques psychosociaux -soit plus 15 points par rapport au privé. Pour faire passer la pilule le gouvernement veut faire passer les fonctionnaires pour des privilégiés : au fond cette mesure ne serait que de la justice sociale… la vérité c’est que les 2/3 des salariés du privé n’ont aucun jour de carence grâce à leur prévoyance santé, c’est ce que rappelle une étude de la DRESS de 2015 : la prise en charge des jours de carence dans le privé permet d’ailleurs de réduire les arrêts maladies, et c’est logique : mieux vaut prévenir que guérir…  En fait les jours de carence ont deux conséquences : l’allongement de la durée des arrêts maladies, et la poursuite du travail malade, ce qui peut dégrader la santé des agents publics et augmenter les dépenses de santé ! A la CGT nous n’avons rien contre l’alignement public privé mais pourquoi toujours sur le moins-disant ?  Le comble du cynisme c’est que le gouvernement précédent envisageait déjà d’augmenter les jours de carence pour le privé à 4 voire à 7 jours : de quoi revenir dans quelques années avec le même chantage entre le public et le privé… on marche sur la tête ! Et d’ailleurs, dans un souci d’égalité, le gouvernement veut aligner public et privé : en a-t-il l’idée également pour les salaires ? Car d’après l’INSEE le pouvoir d’achat des salariés du privé a augmenté deux fois plus vite que celui des fonctionnaires entre 2011 et 2021 : en moyenne 0,4 % par an contre 0,2 %. La mesure proposée par Monsieur Kasbarian vise à prélever directement 1,2 milliard sur la rémunération des fonctionnaires, une mesure qui impactera avant tout les femmes, majoritaires dans la fonction publique, très concernées par les arrêts courts (par exemple pour endométriose). En matière de rémunération les fonctionnaires ont été augmentés de 5 % entre 2022 et 2023 mais dans le même temps les prix à la

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Revue de presse

Il est minuit moins une. La CGT met toutes ses forces dans la bataille pour ouvrir des perspectives de progrès lors des législatives et décide de soutenir le nouveau Front populaire !

Le Comité Confédéral National (CCN) de la CGT s’est réuni, ce mardi 18 juin 2024, pour examiner la situation inédite dans laquelle se trouve le pays, suite à la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale et d’organiser des élections législatives les 30 juin et 7 juillet. Au vu de la gravité de la situation, le CCN considère que la CGT doit prendre ses responsabilités et que le programme du nouveau Front populaire est celui qui répond le mieux aux attentes et aspirations des travailleuses et des travailleurs et qui ouvre le plus de possibilités de mobilisations gagnantes. Retrouvez ici l’article complet sur le site de la Confédération : https://www.cgt.fr/declarationCCN Téléchargez ici le kit militant pour aborder cette étape essentielle : https://www.cgt.fr/kitmilitant Écoutez ici l’adresse de Sophie BINET aux militants : https://www.cgtetat.fr/societe-959/autres/article/face-a-l-extreme-droite-le-front-populaire-tract-video.

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